Le rakugo (落 語, littéralement "mots tombés") est une forme de divertissement verbal japonais. Le conteur en kimono (落 語 家, rakugoka) est assis sur la scène appelée kōza (高 座). En utilisant uniquement un éventail en papier et un petit tissu (手 拭, tenugui) comme accessoires, et sans se lever de la position assise, l'artiste raconte une histoire comique longue et complexe (dans certains cas, elle peut aussi être courte). L'histoire implique toujours un dialogue de deux personnages ou plus. La différence entre les personnages est représentée uniquement par un changement de ton et un léger virage de la tête.
Certains considèrent le rakugo comme une sorte de sitcom sur scène où tous les personnages seraient joués par un seul comédien. On peut également parlé de stand-up à genoux. L'autre grand style de comique sur scène étant le manzai.
Le rakugo tirerait ses origines des historiettes comiques racontées par les moines bouddhistes. Plus exactement, il date du début de l'époque Edo (1603-1868).
De nos jours, certaines représentations sont diffusées à la télévision et grâce à cette exposition, le rakugo reste très populaire.
Voici d'ailleurs une histoire racontée par l'un des maîtres du genre, Sanyutei Ryuraku.
Un autre extrait expliquant le caractère tsundere de certains Japonais :
Le plus célèbre des rakugoka contemporain est peut-être Shōfukutei Tsurube II, ou simplement Tsurube. L'artiste est devenu l'une des personnalités de la télévision et de la publicité les plus connues du Japon.
Kanna Hashimoto est une actrice et ancienne chanteuse japonaise née le 3 février 1999 à Fukuoka.
Dès ses premières apparitions, notamment au sein du groupe féminin japonais Rev. from DVL, Kanna Hashimoto a attiré l’attention et est devenue populaire grâce à une photo virale de 2013 la montrant en performance scolaire, qui a explosé sur les réseaux sociaux.
Ce buzz l'a propulsée sous le surnom d'"Idole Angélique" (Tenshi Idoru), soulignant sa beauté innocente et charismatique. Elle a aussi été qualifiée de "Talent qui n’apparaît qu’une fois dans un millénaire" (Sen nen ni ichido no talent), un titre hyperbolique reflétant l'engouement massif des fans et médias japonais pour son potentiel unique.
En 1912, lors des J.O. de Stockholm, les marathoniens courent sous une chaleur torride. Épuisé et assoiffé, Shizo Kanakuri décide de s’arrêter «quelques instants», mais il s’endort et ne se réveillera que le lendemain matin.
En 1967, âgé de 76 ans, le japonais revient au stade olympique et termine son marathon. Il détient depuis le record du monde du marathon le plus lent avec un temps de 54 ans, 8 mois, 6 jours.
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