A la fin de chaque mois, lorsque Madame Tamura fait ses comptes, elle accuse un déficit de près de 600 euros. Un bilan peu surprenant compte tenu de la quantité gargantuesque de nourriture produite et du prix anormalement bas qu'elle demande à ses clients, 500 yens, soit environ 4 euros.
Son restaurant situé au nord de Tokyo dans la ville de Kiryū (préfecture de Gunma) est devenu une étrangeté que les télévisions du Japon se sont amusés à faire découvrir à leurs téléspectateurs ces dernières années.
Malgré six heures de cuisine qu'elle prépare seule chaque matin depuis plus de 20 ans, l’octogénaire qui se fait appeler Hacchan prend beaucoup de plaisir à accueillir clients de passage et réguliers dans une ambiance qui sent bon la campagne japonaise.
Au menu, nouilles, légumes, poissons, curry, et bien d'autres mets, le tout à volonté.
Dès ses premières apparitions, notamment au sein du groupe féminin japonais Rev. from DVL, Kanna Hashimoto a attiré l’attention et est devenue populaire.
Certains lui ont donné le surnom de "Talent qui n’apparaît qu’une fois dans un millénaire". Un autre surnom de « Idole Angélique » lui a été donné.
La Chine (60 %) et le Japon (28 %) sont les premiers producteurs et consommateurs de farine de konjac, tubercule à la réputation flatteuse en matière de santé et de régime minceur. Le volume total annuel de farine de konjac produit est de 25 000 tonnes.
Le konjac est une plante est cultivée comme légume en Chine, au Japon ou encore en Indonésie, depuis le 9ème siècle. Le principal usage du konjac est la production de farine à partir des rhizomes, puis de pâte à partir de cette farine pour les usages alimentaires.
Le Japon conserve sa production de konjac pour sa consommation domestique, et se protège de l'importation de konjac étranger par un double système de quotas et de taxes pouvant atteindre 990 % de la valeur du produit sur le marché.
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