Si vous suivez le cinéma japonais en France, vous connaissez sans aucun doute, l'association Hanabi. Si vous suivez DozoDomo, vous savez que nous sommes particulièrement enthousiastes à propos des nombreux événements qu'elle propose à travers la France pour faire rayonner la culture japonaise.
Créée en janvier 2018, Hanabi (www.hanabi.community) est une association qui a pour but de rendre la culture japonaise la plus influente possible auprès du plus grand nombre. Elle y parvient avec brio via sa communauté engagée sur les réseaux sociaux et une newsletter bimensuelle sur les événements Japonais en France, une revue critique dans les lieux japonais de France, un site web reprenant l’actualité cinématographique et culturelle, un vidéo-club pour découvrir les films japonais après le cinéma.
Depuis 2019, Hanabi fait appel à sa communauté pour réaliser ses projets. Grace à ce soutien, l’association est en mesure d’organiser de nombreuses avant-premières originales autour des films comme Les Saisons Hanabi, festival qui, au fil des saisons, ramène le cinéma japonais dans toutes les salles de l'Hexagone.
En adhérant pour l’année 2023, vous recevrez un joli cadeau : le troisième volume de la « La collection Hanabi » avec le meilleur du cinéma nippon actuel, en DVD ou en Blu-ray.
Pour l’année 2023, l’adhésion à l’association Hanabi vous coûtera 55€ en échange du coffret DVD et 60€ pour le coffret Blu-Ray. Et c’est déductible des impôts !
Retrouvez tous les détails de l'adhésion sur la page HelloAsso dédiée HelloAsso/HANABI et découvrez même comment recevoir le premier et le second coffret cinéma de la « La collection Hanabi » sur le site web de l’association.
Dès ses premières apparitions, notamment au sein du groupe féminin japonais Rev. from DVL, Kanna Hashimoto a attiré l’attention et est devenue populaire.
Certains lui ont donné le surnom de "Talent qui n’apparaît qu’une fois dans un millénaire". Un autre surnom de « Idole Angélique » lui a été donné.
En 1912, lors des J.O. de Stockholm, les marathoniens courent sous une chaleur torride. Épuisé et assoiffé, Shizo Kanakuri décide de s’arrêter «quelques instants», mais il s’endort et ne se réveillera que le lendemain matin.
En 1967, âgé de 76 ans, le japonais revient au stade olympique et termine son marathon. Il détient depuis le record du monde du marathon le plus lent avec un temps de 54 ans, 8 mois, 6 jours.
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