Si vous êtes déjà allés au Japon, vous avez sûrement vu aux caisses de certains supermarchés des tubes rouges d'une vingtaine de centimètres avec le mot Tenga écrit dessus. A côté des piles et des chocolats, la présence de ces sex toys masculins a de quoi surprendre.
Depuis sa création en 2005, le Tenga s'est développé pour offrir aujourd’hui plus d'une dizaine de "masturbateurs" différents. Chacun de ces tubes renferme un moulage en silicone sensé reproduire les sensations d'un coït dans une position bien particulière. Selon votre choix messieurs, vous pourrez choisir de vous faire plaisir en missionnaire, en balançoire ou en cuillère. Il en existe bien évidemment d'autres plus extrêmes, vous ferez la recherche vous-mêmes d'accord ?
Aujourd’hui, la compagnie aux 2 milliards de revenus annuels (15 millions d'euros) présente son nouveau modèle, le Tenga Workout Gear, ou comment combiner plaisir et musculation.
Le Workout Gear n'est pas un Tenga à proprement parler mais une coque en acier inoxydable de 4 kilos qui vient se positionner sur le sex toy.
La prochaine fois que vous retrouverez un copain que vous n'aviez pas vu depuis quelques temps avec le bras droit deux fois plus musclé que le gauche, vous saurez pourquoi.
Dès ses premières apparitions, notamment au sein du groupe féminin japonais Rev. from DVL, Kanna Hashimoto a attiré l’attention et est devenue populaire.
Certains lui ont donné le surnom de "Talent qui n’apparaît qu’une fois dans un millénaire". Un autre surnom de « Idole Angélique » lui a été donné.
On n'en parle pas souvent mais dans le japon médiéval, certaines femmes issues de la haute société apprenaient les arts martiaux et étaient amenées a combattre. On les appelait les Onna-bugeisha (女武芸者).
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