En 2018, un Français du nom de Fred Oarao est en plein pèlerinage pour Saint-Jacques-de-Compostelle. Sur le chemin, il fait la connaissance d'une Japonaise elle aussi en marche pour le tombeau de l'un des compagnons du Christ et frère de l’apôtre Jean. Déjà l'histoire n'est pas banale.
En cheminant ensemble, les deux pèlerins échangent sur les onomatopées de leur langue respective. Chaque animal, oiseau croisé est l'occasion d'une découverte amusante. C'est celle du pigeon qui surprendra le plus le Français.
Fred a confié à DozoDomo avoir toujours aimé le Japon, sa culture surtout car il n'y est encore jamais allé. Ses quelques notions acquises lors de cours d'initiation lui ont permis d'écrire la chanson que nous vous présentons ici.
"J'avais imaginé, à partir d'un "hato" (pigeon en japonais, ndlr) qui popopotait près de nous, une variante japonaise de "Cucurucucu paloma", la célèbre chanson mexicaine reprise notamment par Julio Iglesias ou Nana Mouskouri. L'idée d'en écrire une originale m'est restée et le confinement m'a permis de mettre mes plans à exécution. Je voulais faire une chanson claire et enjouée pour que les enfants sachent comment se nomme un animal plutôt commun en japonais, un truc rigolo que j'aurais moi-même aimé écouter dans ma jeunesse."
Mon parapluie retourné par le vent - jours d'incertitude
Sur l’archipel où cohabitent 127 millions de personnes, 100 millions de parapluies sont vendus chaque année, notamment ces fameux parapluies transparents, et à usage unique, disponibles à très bas prix dans des distributeurs automatiques.
En France, Environ 12 millions de parapluies sont vendus chaque année. Plus de 10 millions d'entre eux finissent dans nos poubelles et dans la filière de gestion des déchets.
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