Régent et politicien de la Cour impériale du Japon. Il joua un rôle majeur dans l'implantation du bouddhisme au Japon.


L'histoire des Jeux Olympiques de Tokyo 2020 et de ses logos aura été semée d'embuches.
D'une première version plagiée à celui parodique des derniers jours, le sujet est particulièrement sensible.
Les organisateurs des Jeux olympiques de Tokyo ont vivement critiqué le Club des correspondants étrangers du Japon pour avoir publié une image parodique combinant le logo des Jeux avec une particule de coronavirus sur la couverture de son magazine mensuel.
"A un moment de grande souffrance, il est inconsidéré pour de nombreuses personnes, en particulier les athlètes du monde entier qui visaient à participer aux Jeux. C'est un acte indigne", a ajouté le comité d'organisation dans un communiqué.
"De toute évidence, la couverture a offensé certaines personnes dans notre pays hôte, le Japon … nous aimerions exprimer nos sincères regrets" a déclaré plus tard le président de la FCCJ, Khaldon Azhari, dans un article en ligne.
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En 1961, à Paris, lors de la troisième édition des championnats du monde, soit environ 80 ans après la création de cet art martial fondé par Jigoro Kano en 1882, Anthonius Johannes (Anton) Geesink est le premier judoka à battre un japonais en catégorie poids lourds. En 1964, à Tokyo, le néerlandais deviendra médaillé olympique en dominant en finale Akio Kaminaga.
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