Entrepreneur et philosophe des affaires, il est surnommé au Japon « le dieu de la gestion » pour ses qualités de dirigeant et sa pensée économique.
Le japonais Iris Ohyama, roi des boites en plastique, va fabriquer des masques de protection en Seine-et-Marne


IRIS OHYAMA, fondé en 1958, est l’un des plus grands fabricants de produits plastiques grand public au monde. Il a même créé en 1989 la première caisse de rangement en plastique transparente au monde.
Le groupe japonais, dont le chiffre d’affaires global s’élève à plus de 4.5 milliards dʼeuros en 2019, commercialise aussi des équipements divers et variés pour la maison et le jardin : électroménager, LED, ustensiles de cuisine, produits pour animaux, alimentation…
IRIS OHYAMA est depuis longtemps un acteur majeur dans la fabrication de masques de protection. Ses usines en Chine produisent chaque jour, depuis le début de cette pandémie, des millions de masques qui sont distribués sur les marchés chinois et japonais.
IRIS OHYAMA est déjà installé depuis mai 2019 à Lieusaint, en Seine-et-Marne, avec un site qui accueille à la fois le siège de sa filiale française et sa deuxième base de fabrication et de distribution en Europe (après celle située aux Pays-Bas, créée en 1998). L'engagement est conséquent : 60 millions d’euros, la plus importante implantation japonaise en France depuis de nombreuses années.


L'entité nippone va implémenter de nouvelles lignes de production capable d'alimenter, tous les mois, le marché hexagonal de 50 à 70 millions de masques chirurgicaux à trois plis et FFP2 labellisées « made in France ». Conséquence directe de la crise du coronavirus, ce nouvel investissement estimé à 8 millions d'euros sera accompagné de la création d'environ 70 emplois. La course contre-la-montre a débuté, afin de commencer la production en octobre.
Les capacités de production des autres usines du groupe, aux Etats-Unis ou en Corée, seront aussi renforcées. Dès juin, au Japon, jusqu'à 90 millions de masques par mois seront fabriqués.
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Avant de faire des jeux vidéo dans les années 1970 et rencontrer le succès mondial qu'on lui connait, Nintendo a vendu pendant près d'un siècle des cartes à jouer, les hanafuda. Composé de 12 séries de 4 cartes florales représentant chacune l'un des douze mois de l'année, le jeu était très populaire durant le Sakoku, époque où le Japon était totalement isolé du reste du monde. Ces cartes peuvent être utilisées pour jouer à différents jeux comme Koi-Koi ou Poka.
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