La conservation du patrimoine est un enjeu important au Japon, un pays en proie à des tremblements de terre quasi quotidiens. Pas étonnant donc de retrouver peu de bâtiments ayant plus de 100 ans, d'autant que la seconde guerre mondiale a elle aussi apporté son lot de destructions. La mentalité japonaise a longtemps été de reconstruire à l'identique les édifices détruits - les châteaux d'Osaka ou d'Hiroshima en sont un exemple concret. Avec des normes de construction antisismiques constamment modernisées, d'autres bâtiments d'importance culturelle majeure ont dû subir un lifting intégral. Le théâtre de kabuki (kabuki-za) dans le quartier de Ginza à Tokyo a été démoli et reconstruit en réutilisant des éléments de la façade antérieure et avec un gratte-ciel tout neuf juste derrière.
Quartier de Marunouchi (Tōkyō, 丸の内)
Ancien quartier de prostitution de Yoshiwara (Tōkyō, 吉原, aujourd'hui proche d'Asakusa)
Nihonbashi (Tōkyō, 日本橋)
Nihonbashi est sans nul doute le pont le plus célèbre du Japon. D'une importance historique exceptionnelle (il marquait le début de la route Tokaido), il fut représenté dans des dizaines d'estampes et l'on espérait qu'il eut droit à un autre traitement que de se voir caché sous une immonde autoroute urbaine (都心環状線 Toshin Kanjō-sen).
Théâtre impérial (Tōkyō, 帝国劇場)
Ryōunkaku (Pavillon surpassant les nuages, Tōkyō)
D'une manière générale, le Tokyo du début du 20e siècle, exception faite des grands quartiers commerçants centraux, était une vraie fourmilière où il ne fallait qu'une flamme pour créer un incendie d'ampleur. La destruction presque totale de la ville en 1945 a permis si l'on peut dire, de revoir complètement son urbanisme.
Gare de Yokohama (横浜駅)
Shijodori (四条通り, Kyōto)
Ville sauvée in extremis du souffle nucléaire, Kyōto est donc une miraculée. Ville au patrimoine exceptionnel, elle n'en a pour autant pas oublié de se moderniser au fil du temps, pas toujours avec goût d'ailleurs.
Dès ses premières apparitions, notamment au sein du groupe féminin japonais Rev. from DVL, Kanna Hashimoto a attiré l’attention et est devenue populaire.
Certains lui ont donné le surnom de "Talent qui n’apparaît qu’une fois dans un millénaire". Un autre surnom de « Idole Angélique » lui a été donné.
La Chine (60 %) et le Japon (28 %) sont les premiers producteurs et consommateurs de farine de konjac, tubercule à la réputation flatteuse en matière de santé et de régime minceur. Le volume total annuel de farine de konjac produit est de 25 000 tonnes.
Le konjac est une plante est cultivée comme légume en Chine, au Japon ou encore en Indonésie, depuis le 9ème siècle. Le principal usage du konjac est la production de farine à partir des rhizomes, puis de pâte à partir de cette farine pour les usages alimentaires.
Le Japon conserve sa production de konjac pour sa consommation domestique, et se protège de l'importation de konjac étranger par un double système de quotas et de taxes pouvant atteindre 990 % de la valeur du produit sur le marché.
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