Fantasme pour de nombreuses amoureuses de la mode japonaise, le kimono n'en reste pas moins un vêtement d’exception que l'on ne porte qu’à de rares occasions. Les matériaux nobles utilisés pour sa confection le rendent bien souvent inaccessible, raison pour laquelle les boutiques de locations se sont développées.
"Si la tradition n'est pas mise à jour, les choses anciennes deviennent simplement vieilles. Je respecte les vieux classiques mais je pense qu'il faut les adapter au sens de la nouveauté de la génération suivante, à leur sens de la beauté, à leurs règles." Voici résumée en quelques mots la philosophie du designer à l'origine de la marque Jotaro Saito composition.
Ses créations sont faites en polyester et peuvent être lavées à la maison. De même, la ceinture heko-obi est 100% polyester, et les sandales tabi en dentelle sont 100% nylon, toutes lavables et faciles à entretenir.
Pour les prix, on est loin des sommes atteintes par les kimonos traditionnels, mais cela reste tout de même un sacré budget. Comptez entre 780 et 1000 euros pour une tenue.
7 tonnes de sauterelles sont consommées chaque année au Japon
100 grammes de sauterelles donnent 26,3 grammes de protéines contre 20,2 gr pour l'équivalent de viande de boeuf…
L'automne est la meilleure période pour ramasser les sauterelles, au moment de la récolte de riz. Elles pullulent dans les rizières.
Dans la région de Nagano, on aime les sauterelles bouillies puis passées dans un mélange de sucre, sauce soja et mirin (sake doux), et utilisées en accompagnement du riz blanc ou du thé vert.
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