Désireux d'habiter au cœur de la ville et à proximité des lieux où ils exercent leurs activités dans le monde de l'écriture et de l'édition, les propriétaires n'ont offerts qu'une parcelle de terrain extrêmement réduite (8x4m) à l'architecte pour s'exprimer. Coincée entre deux immeubles la surplombant de plusieurs étages, cette petite maison de ville d'une surface habitable de 66m² joue la confusion entre intérieur et extérieur. Perturbant, aussi bien pour le voisinage, qui doit éviter de jouer les voyeurs, que pour l'habitant dont la promiscuité ne doit absolument pas poser de problème.
Si vivre dans un tel écrin de nature en centre-ville est appréciable, l'extravagante et étrange structure de quatre étages manque de certains d'agréments de conforts et d'intimités qu'une maison personnelle se doit de proposer. Comment font-ils en cas d'intempéries ou de grand froid ? Aucun mur extérieur n'entoure la maison. Aucuns murs intérieurs ne séparent les différentes zones de vies entre elles. Seuls de grandes fenêtres coulissantes, des rideaux et des voilages permettent de garder un peu de confidentialité et de "cloisonner" les parties plus personnelles. Vases, jardinières, bancs en béton, rampes de plexiglas forment la mince frontière entre l'intérieur et l'extérieur. Des escaliers en acier, montés entre les dalles de béton épais qui soutiennent l'ensemble, permettent de grimper dans les deux chambres situées à des étages différents et sur la terrasse sur le toit où le système de climatisation est placé. De très minces tubes traversent de haut en bas le bâtiment pour cacher les tuyauteries.
Le sentiment de vivre dans un jardin suspendu, souligné par le peu de meuble encombrant l'espace et qui offre un ensemble qui se vie dans la continuité entre intérieur et extérieur, est affirmé dans l'un des étages par une partie recouverte par une fine couche de terre étalée sur le plancher. La maison pourrait être confondue avec une sorte de jardin vertical si le rez-de-chaussé, comprenant le salon et la cuisine, n'était pas fermé par une porte d'entrée plus conventionnelle.
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Chara
Gachapin
Gachapin
Créateur : Jōji Katakiri
Première apparition : Hirake! Ponkikki (émission pour enfants sur FujiTV)
7 tonnes de sauterelles sont consommées chaque année au Japon
100 grammes de sauterelles donnent 26,3 grammes de protéines contre 20,2 gr pour l'équivalent de viande de boeuf…
L'automne est la meilleure période pour ramasser les sauterelles, au moment de la récolte de riz. Elles pullulent dans les rizières.
Dans la région de Nagano, on aime les sauterelles bouillies puis passées dans un mélange de sucre, sauce soja et mirin (sake doux), et utilisées en accompagnement du riz blanc ou du thé vert.
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