Dame de la cour du milieu de l'époque de Heian (xe-xie siècle), connue pour avoir écrit l'un des monuments de la littérature japonaise le "Dit du Genji." Née en 923, disparue en 1014 ou 1025.
Au Japon, Norah Jones utilise Maison Ikkoku pour promouvoir sa nouvelle chanson « I'm Alive »
La vidéo met, évidemment, en avant l’histoire entre les deux personnages principaux du casting de Maison Ikkoku (Juliette je t’aime).
Dommage qu’il n’y ai pas eu de nouvelles planches produites exclusivement pour la vidéo. Les illustrations fixes reprennent tel quel les moments clés de la relation entre Kyoko Otonashi (Juliette) et Yusaku Godai (Hugo) mais en ajoutant quelques effets appropriés ou des animations particulièrement bien intégrées comme des larmes qui coulent ou des pétales de sakura qui virevoltent dans le ciel en arrière-plan. C’est un régal pour les fans de longue date de l’œuvre mais aussi du travail intemporel de Rumiko Takahashi.
Pour ceux et celles qui n’ont jamais vu mais surtout lu Maison Ikkoku, la tonalité de la chanson est un bon aperçu de ce à quoi il faut s’attendre, c’est-à-dire une romance mélancolique et complexe, l'une de plus belles histoire d'amour conté dans un manga.
C’est le parallèle entre les ruminations de Kyoko sur la question de ses sentiments, sur ce que signifie d’être vivant et, les paroles et l'arrangement doux-amer mais apaisant de la chanson qui a poussé les producteurs de la vidéo à emprunter les images du manga.
Ne vous fiez surtout pas aux paroles du générique en français que l’on nous a pondu pour la diffusion dans le Club Dorothée. Et pour la série en elle-même, comme souvent à l’époque et pour le public visé, certains passages et dialogues ont été édulcorés, voire censurés, ou transformés.
Contrairement à d’autres œuvres de Rumiko Takahashi, Ranma 1/2 ou Inu-Yasha, Maison Ikkoku est une histoire fermement ancrée dans la réalité. Il n'y a pas monstres ou de malédictions à défaire, juste tout un groupe de personnes vivant ensemble dans une désuète pension de famille dans le Japon des années 80, parfaitement dépeint avec des thèmes engagés, cruciaux pour la société et traités, avec brio, par la mangaka en alternant situations absurdes, quiproquo et humour loufoque dont elle est coutumière avec ses autres ouvrages.
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