Premier des trois unificateurs du Japon pendant la période Sengoku. Il est élu personnalité historique la plus importante du Japon lors d'une émission de TV diffusé sur Nippon Television.
Avec le projet Art Beef Gallery, combinez vos passions pour l'ukiyo-e et le bœuf Ōmi de qualité A5

Basé à Shiga, Hyotanya, un restaurant de shabu-shabu très apprécié et servant du bœuf Ōmi, a eu une idée originale pour vendre à distance le bœuf que lui propose ses fournisseurs. Il s’est associé à Kayac, un développeur de jeu mobile, pour offrir à cette viande d’exception un écrin intéressant.

Le bœuf Ōmi (Ōmigyu) tire son nom de ses origines. Il est élevé dans la préfecture de Shiga, autrefois connue sous le nom de province d'Ōmi. Cette variété de Wagyu est considéré comme faisant partie de la sainte trinité des viandes de qualité supérieure au Japon, aux côtés du bœuf de Matsusaka et du célébrissime bœuf de Kobe.

Pour les gourmets amateurs de produits de luxe, le bœuf noir japonais pur sang marbré pourrait très bien être qualifié d'œuvre d'art, tant le soin apporté à l’élevage traditionnel resté inchangée depuis plusieurs siècle et à sa préparation n’a pas d’égal dans le monde.

Le bœuf Ōmi de qualité A5 (A5, la classification plus élevée, correspondant à un animal qui a un fort rendement en viande) est proposé dans un emballage inspiré de certaines œuvres les plus célèbres du mouvement Ukiyo-e, les gravures sur bois et les peintures narratives très populaires durant la seconde moitié du XVIIe siècle.

Le premier coffret met en avant « Le Fuji par temps clair », l’une des trente-six vues du Mont Fuji d’Hokusai, l'artiste ukiyo-e le plus prolifique. Seront aussi proposés "Le temple de Kinryûzan à Asakusa" d’Utagawa Hiroshige, ainsi qu'une estampe de Kobayashi Kiyochika.

Le projet "Art Beef Gallery" a été conçu pour aider les éleveurs de bétail dans l'industrie du wagyu durant la pandémie.

Persillage inimitable, textures fines, tendre et saveur riche caractérisent cette viande exceptionnelle.

L’astucieux emballage ukiyo-e remplace le "Red Fuji" de l’œuvre originale par des pièces de bœuf Ōmi spécialement sélectionnées.

Ces pièces d’Art uniques peuvent être commandé, au Japon, pour 13000 yens. A peine une centaine d’euros. C’est donné. D’autant que seuls 1000 exemplaires seront disponibles.
Notez que pour ce tarif, tout à fait abordable, vous aurez en moyenne 700 grammes de ce plaisir bien moins dispendieux qu’un steak enrobé de feuille d’or.

Attendez juste de déguster dans de bonnes conditions ce mets raffiné, avant d’accrocher aussi fièrement le tableau.
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