Et dire que cette petite série de vidéos à deux ans déjà. On aimerait tellement revenir en arrière pour pouvoir faire la tournée des boutiques de jouets de de jeux vidéo de Tokyo comme le font les Hard Looters (Looter " : verbe tiré du mot anglais " Loot " (" Butin " en français) désignant, dans le domaine du jeu vidéo, l'action de piller un trésor ou de récupérer des objets, du plus commun au plus rare).
Enfin, en attendant de pouvoir refaire un petit tour au Japon, je prends un certain plaisir à revoir Benzaie, Mr QuaRaté, Asenka et leurs hommes de l’ombres partir à la découverte de trésors cachés dans les plus incroyables ou improbables enseignes japonaises de retrogaming avec leurs lots de raretés ou d’exclusivité, de jouets vintage et figurines collectors… Ils visitent aussi des salles d’arcade… Ah, les salles d’arcade japonaises… Elles me manquent. Elles ferment à tour de bras actuellement, on croise les doigts pour qu’à la sortie de cette période compliquée il en subsiste encore quelques-unes parmi les plus emblématiques.
La série est ludique et véritablement passionnante. Si les blagues à la chaine (66% de bonnes blagues) et le vocabulaire parfois vulgaire (rarement mais…), ainsi que le jargon utilisé est un peu trop typé « initié » à mon gout (Ce n’est qu’un avis), ne vous font pas peur, vous ne serez pas déçus. Au contraire. Vous en apprendrez beaucoup, tout d’abord sur ces quelques personnalités du web qui ne sont pas de sombres inconnus. Mais vous saurez, aussi, tout ou presque sur les Mecques des Otakus que sont, par exemple, Super Potato à Akihabara ou Mandarake de Nakano Broadway.
Deux saisons sont disponibles accompagnées de quelques épisodes tournés en France, dans les boutiques parisiennes.
Toutes les vidéos sont visionnables gratuitement sur YouTube mais notez que le tout est aussi disponibles en disques et édité par Omaké Books.
Dès ses premières apparitions, notamment au sein du groupe féminin japonais Rev. from DVL, Kanna Hashimoto a attiré l’attention et est devenue populaire.
Certains lui ont donné le surnom de "Talent qui n’apparaît qu’une fois dans un millénaire". Un autre surnom de « Idole Angélique » lui a été donné.
Nintendo a commencé en fabriquant des cartes à jouer
Avant de faire des jeux vidéo dans les années 1970 et rencontrer le succès mondial qu'on lui connait, Nintendo a vendu pendant près d'un siècle des cartes à jouer, les hanafuda. Composé de 12 séries de 4 cartes florales représentant chacune l'un des douze mois de l'année, le jeu était très populaire durant le Sakoku, époque où le Japon était totalement isolé du reste du monde. Ces cartes peuvent être utilisées pour jouer à différents jeux comme Koi-Koi ou Poka.
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