La Cité internationale de la tapisserie, porteuse d’un savoir-faire d’exception de six siècles inscrit par l’UNESCO au Patrimoine culturel immatériel de l’humanité, lance une campagne de financement participatif pour tisser une scène culte de « Mon voisin Totoro ». Appuyée par le Studio Ghibli, la nouvelle oeuvre, va s’imposer sans aucun doute comme une œuvre emblématique de la tenture.
Rendez-vous le jeudi 13 juin 2024 sur KissKissBankBank
La Cité internationale de la tapisserie d'Aubusson, avait annoncé il y a quelques semaines le lancement d'une campagne de financement participatif pour la création d'une nouvelle tapisserie monumentale inspirée du film d'animation culte « Mon voisin Totoro ». Les détails se précisent. Cette œuvre, intitulée "La Sieste de Mei et Totoro", sera la plus grande tapisserie jamais réalisée par la Cité, avec une superficie de plus de 31 m2 tissés entièrement à la main.
Ce projet ambitieux s'inscrit dans le cadre de la collection "L'imaginaire de Hayao Miyazaki en tapisserie d'Aubusson", qui a déjà vu la réalisation de quatre œuvres monumentales. La nouvelle tapisserie, qui a déjà débuté et qui nécessitera 24 mois de travail collectif, sera tissée à partir du quatrième trimestre 2024.
La campagne de financement participatif, qui se déroulera du 13 juin au 31 juillet 2024 sur la plateforme KissKissBankBank, vise à collecter des fonds pour couvrir les coûts de réalisation de cette œuvre exceptionnelle.
Les contributeurs auront accès à un ensemble de contreparties exclusives. Ils auront notamment l’opportunité de rencontrer les acteurs du projet et de découvrir les coulisses de fabrication d’une tapisserie (A voir absolument), ainsi que d’autres surprises qui seront dévoilées à l’occasion du lancement.
La Chine (60 %) et le Japon (28 %) sont les premiers producteurs et consommateurs de farine de konjac, tubercule à la réputation flatteuse en matière de santé et de régime minceur. Le volume total annuel de farine de konjac produit est de 25 000 tonnes.
Le konjac est une plante est cultivée comme légume en Chine, au Japon ou encore en Indonésie, depuis le 9ème siècle. Le principal usage du konjac est la production de farine à partir des rhizomes, puis de pâte à partir de cette farine pour les usages alimentaires.
Le Japon conserve sa production de konjac pour sa consommation domestique, et se protège de l'importation de konjac étranger par un double système de quotas et de taxes pouvant atteindre 990 % de la valeur du produit sur le marché.
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