Dialogue esthétique entre l’intérieur et l’extérieur des lieux, l’intrigante nouvelle façade en verre de la boutique Louis Vuitton à Tokyo, imaginée par Jun Aoki et son cabinet, est inspirée par les reflets de l'eau de la cité portuaire.
Après trois ans de travaux, les architectes ont dévoilé un ambitieux édifice de plusieurs étages à l'aspect incurvé et ondulé, entièrement recouvert de verre à effet holographique produisant une infinité de variations de couleurs, et d'un intérieur au charme tout aussi organique.
La boutique paraît irréelle, tant elle est futuriste.
Construit en 1981, le magasin Louis Vuitton Ginza Namiki, se transforme après quarante ans d’existence. Elle a fait peau neuve sous la forme d’un monolithique kaléidoscopique en mouvement et donne un relief rafraîchissant au paysage urbain austère environnant.
L’extérieur à l'esthétique rafraîchissante imaginé par Jun Aoki donne l’illusion de voir les immeubles voisins se refléter dans l’eau.Si l’extérieur a été repensé, il en est de même pour l’intérieur de la boutique.
L’intérieur de la boutique, piqué d'influences mais aussi de couleurs très naturelles et souligné par un escalier proéminent en chêne sculpté et bordé de verre, a été conçu par l'architecte américain Peter Marino.
À l'intérieur, un fabuleux escalier central en chêne bordé de verre assure la circulation.
C’est au septième et dernier étage de la boutique Louis Vuitton Ginza Namiki, que la visite atteint son paroxysme. Pour terminer sur une note gourmande, au dernier étage de la boutique se trouve le café LV, piloté par l'un des meilleurs chefs du monde, Yosuke Suga, qui marque sa deuxième collaboration gastronomique avec Louis Vuitton.
Le café regroupe un restaurant, un bar à cocktail, ainsi que le Chocolat V, un espace dédié entièrement au chocolat artisanal. Ganaches et autres barres chocolatées seront ainsi mises en vente au Café V. Le chef Yosuke Suga sera aussi le maître des lieux.
Dès ses premières apparitions, notamment au sein du groupe féminin japonais Rev. from DVL, Kanna Hashimoto a attiré l’attention et est devenue populaire.
Certains lui ont donné le surnom de "Talent qui n’apparaît qu’une fois dans un millénaire". Un autre surnom de « Idole Angélique » lui a été donné.
On n'en parle pas souvent mais dans le japon médiéval, certaines femmes issues de la haute société apprenaient les arts martiaux et étaient amenées a combattre. On les appelait les Onna-bugeisha (女武芸者).
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