Vincent Pruchon a un lien fort avec le Japon. "La culture et la civilisation japonaises me passionnent et j'aime observer les japonais, les voir se déplacer, travailler, rire, pour résumer les voir vivre dans cette immense ville qu'est Tokyo, ainsi je les photographie dans leur environnement, on peut dire que je fais de la photographie de rue, en noir et blanc (sûrement parce qu'il y a beaucoup/ trop de couleurs à Tokyo) et en argentique" nous a-t-il récemment confié.
Nous avons particulièrement été séduits par sa démarche. Privilégier l'argentique et le noir et blanc à l'heure du numérique, c'est audacieux et le résultat est à la hauteur du risque.
Là où la plupart des séries photographiques sur le Japon s'intéresse aux sites les plus identifiables du pays, Vincent Pruchon s'intéresse aux Japonais et à leur quotidien. Dans cette sélection intitulée "Made in Japan", on retrouve une très intéressante galerie de portraits intemporels et des clichés au graphisme soigné et à la composition étonnante.
Un des nombreux taxis parcourant les rues de TokyoIrasshaimase, UenoSous les voies ferrées du JR, Yuraku Concourse
Vincent Pruchon s'est attaché à montrer les Japonais dans leur diversité. Des hommes et des femmes de la rue, en balade ou en tenue de travail, toujours cadrés de manière originale et inattendue.
Heure de pointe, Shinagawa StationA Noge, quartier festif de YokohamaArrière de restaurant, KawasakiCrown (NDLR: Toyota Crown)Rabatteur, quartier de Kabukicho, ShinjukuFils électriques caractéristiques des villes japonaisesTsukuji, marché aux poissons
Le Japon est un pays qui se prête à la photographie. Ce n'est pas pour rien que l'extrême majorité des appareils photo y est fabriquée.
Dès ses premières apparitions, notamment au sein du groupe féminin japonais Rev. from DVL, Kanna Hashimoto a attiré l’attention et est devenue populaire.
Certains lui ont donné le surnom de "Talent qui n’apparaît qu’une fois dans un millénaire". Un autre surnom de « Idole Angélique » lui a été donné.
7 tonnes de sauterelles sont consommées chaque année au Japon
100 grammes de sauterelles donnent 26,3 grammes de protéines contre 20,2 gr pour l'équivalent de viande de boeuf…
L'automne est la meilleure période pour ramasser les sauterelles, au moment de la récolte de riz. Elles pullulent dans les rizières.
Dans la région de Nagano, on aime les sauterelles bouillies puis passées dans un mélange de sucre, sauce soja et mirin (sake doux), et utilisées en accompagnement du riz blanc ou du thé vert.
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