La prochaine fois que vous lancerez des galets pour vos ricochets, songez à ce qu’il vous serait possible de créer avec si vous aviez le talent d'Akie Nakata.
Depuis 2010, elle dessine d'adorables animaux sur de simples pierres qu’elle rencontre lors de ses promenades le long des rivières. Car c’est ainsi qu’elle conçoit cet évènement. Ce n’est pas seulement le fruit du hasard mais bel et bien une rencontre opportune. C’est d’ailleurs lors d’une de ses promenades que tout a commencé en apercevant une pierre qui ressemblait à un lapin.
L'artiste souhaite rester fidèle à la pierre avec laquelle elle a réussi à établir un lien et qui l'a inspirée, en gardant intacte sa forme, qu’elle n’altèrera, ne lissera ou ne coupera jamais. Elle définit son art comme une renaissance, une vie nouvelle, née de ses mains et à travers son dialogue avec la pierre.
Par définition, les pierres n’entrent pas dans le cadre de classification des organismes vivants, mais imaginez le temps qu’il a fallu à cette petite pierre, témoin millénaire et silencieux de la transformation de la terre, que vous tenez dans la paume de votre main, pour être ce qu’elle est aujourd’hui.
Afin de faire ressortir le vivant qu’elle ressent dans la pierre, l’artiste autodidacte procède avec beaucoup de prudence et ne place son pinceau de peinture acrylique sur son compagnon que lorsqu’elle estime qu’ils sont en parfait accord.
Notez que toutes ses créations ont déjà été adoptées et ne sont donc pas disponibles à la vente mais Akie Nakata est ravie de partager le fruit de son travail en tête à tête avec ses petits cailloux. Toutes ses incroyables réalisations sont sur Facebook et Instagram.
Dès ses premières apparitions, notamment au sein du groupe féminin japonais Rev. from DVL, Kanna Hashimoto a attiré l’attention et est devenue populaire.
Certains lui ont donné le surnom de "Talent qui n’apparaît qu’une fois dans un millénaire". Un autre surnom de « Idole Angélique » lui a été donné.
En 1961, à Paris, lors de la troisième édition des championnats du monde, soit environ 80 ans après la création de cet art martial fondé par Jigoro Kano en 1882, Anthonius Johannes (Anton) Geesink est le premier judoka à battre un japonais en catégorie poids lourds. En 1964, à Tokyo, le néerlandais deviendra médaillé olympique en dominant en finale Akio Kaminaga.
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