Final Fantasy : l'Encyclopédie Officielle Memorial Ultimania (épisodes VII/VIII/IX) est sortie chez Mana Books. Une mine d'or et un indispensable pour les fans de la saga.
Célébrer le jeu vidéo sous toutes ses formes, au travers de ses licences les plus importantes : tel est l’objectif du nouveau label Mana Books qui propose de beaux livres, des bandes dessinées, des guides ou des essais.
Final Fantasy existe depuis 30 ans. A l'occasion, de ses 25 ans, en 2012, Square Enix a édité trois magnifiques livres regroupant toutes les informations sur les épisodes I à XIII ! Grâce à Mana Books, découvrez, pour la première fois en France, plus d’un millier de travaux préparatoires, de story-boards, de croquis, de cartes et d’illustrations inédites ainsi que des centaines d’anecdotes exclusives. Le premier volume publié fait 320 pages et revient sur les épisodes VII, VIII, et IX.
Ce livre est entre l'encyclopédie et l'artbook. Il est plus que complet et regroupe pour chaque jeu, les mondes, le bestiaire et de nombreuses informations. Les personnages y sont détaillés, avec les étapes de leur design, leurs invocations, sans oublier leurs citations.
Les parties sur les mondes de Final Fantasy VII, VIII et IX sont passionnantes. Les notes des artistes de l'époque qui accompagnent chaque dessin permettent de comprendre comment tel ou tel ennemi a été conçu. On (re)découvre aussi certains détails environnementaux auxquels on n'a pas forcément prêté attention ou que l'on ne connaissait pas. Autant de détails qui donnent envie de se replonger dans la saga.
L'encyclopédie propose également le cahier des charges de Yoshinori Kitase (réalisateur de Final Fantasty VII), trois mois seulement après la sortie de Final Fantasy VI. Il montre bien la façon dont une multitude d’idées émises pour le projet sont peu à peu abandonnées et pourquoi.
La citation de Cloud de Final Fantasy VII sur la quatrième de couverture, colle très bien à ce très bel ouvrage : "Si tout cela n’est qu’un rêve, ne me réveille pas."
Dès ses premières apparitions, notamment au sein du groupe féminin japonais Rev. from DVL, Kanna Hashimoto a attiré l’attention et est devenue populaire.
Certains lui ont donné le surnom de "Talent qui n’apparaît qu’une fois dans un millénaire". Un autre surnom de « Idole Angélique » lui a été donné.
En 1912, lors des J.O. de Stockholm, les marathoniens courent sous une chaleur torride. Épuisé et assoiffé, Shizo Kanakuri décide de s’arrêter «quelques instants», mais il s’endort et ne se réveillera que le lendemain matin.
En 1967, âgé de 76 ans, le japonais revient au stade olympique et termine son marathon. Il détient depuis le record du monde du marathon le plus lent avec un temps de 54 ans, 8 mois, 6 jours.
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