Dans un quartier calme de la ville d'Hiroshima, l’architecte japonais Makoto Tanijiri de Suppose Design Office a proposé à ses clients, un couple et leurs trois enfants, une maison vêtue d'une peau translucide : la nuit, elle devient un phare pour le quartier environnant, le jour, elle préserve la vie privée de ses habitants.
Sur un terrain de 135,09 mètres carrés, le bâtiment, qui semble s'ouvrir sur son environnement, permettant à la lumière du jour d’inonder les espaces intérieurs de tous les côtés sans compromettre la vie privée des résident, soffre 208,08 mètres carrés habitables au total, 69,36m² pour chacun des trois étages. La proximité des trois maisons voisines et le site de construction ont dicté la forme, longue et étroite, de la bâtisse mais elles ont aussi inspiré le bardage translucide.
La nuit, le bâtiment devient une lanterne pour veiller sur tout le quartier.
L'échange entre public et privé, intérieur et extérieur reste limité grâce à ce matériau diaphane, laissant aux ombres (japonaises) en mouvement une grande place dans le jeu visuel obtenu.
Les espaces intérieurs sont définis avec une extrême simplicité et pratiquement bruts, des cadres en acier peint en blanc, des plafonds en béton et des planchers en bois. Judicieusement utilisés, ces éléments sont à la fois décoratifs et structurels.
Les fenêtres sont faites du même matériau que les murs. Elles n’offrent pas un regain de lumière mais peuvent être ouvertes pour permettre aux résidents de laisser l'air frais entrer.Selon Tanijiri, « la plupart des murs extérieurs sont épais et lourd. » « Pour la maison Tousuien (tel est son nom), nous avons utilisé un matériau mince et translucide (polycarbonate) pour remplacer les murs extérieurs, à travers duquel la lumière naturelle peut être maximisée dans l'espace intérieur. »
Le rez-de-chaussée, est un garage, qui possède les mêmes détails de conception que le reste de tout l’édifice. L'utilisation spécifique de la salle était une demande du client qui souhaitait un espace ouvert pour le stockage et l’entretien d’une petite collection de moto. Un dispositif de portes coulissantes offre un accès plus aisé aux déplacements des machines. Un petit atelier de maintenance pour moto se trouve au centre de la pièce, et des vélos peuvent être stockés derrière l’escalier menant aux espaces de vie.
Si elles ne sont pas toutes délimitées par des parois ou des séparations, l'organisation des pièces de vie est classique. Cuisine, salle à manger, bureau et salon sont regroupés au premier étage. Seule la salle de bain est enfermée.
Les chambres se partagent le dernier niveau. Au centre de la pièce, la chambre d'un des enfants est aussi cloisonnée et sert de délimitation entre la chambre parentale et l’espace dévolu aux deux autres enfants.
Dès ses premières apparitions, notamment au sein du groupe féminin japonais Rev. from DVL, Kanna Hashimoto a attiré l’attention et est devenue populaire.
Certains lui ont donné le surnom de "Talent qui n’apparaît qu’une fois dans un millénaire". Un autre surnom de « Idole Angélique » lui a été donné.
Nintendo a commencé en fabriquant des cartes à jouer
Avant de faire des jeux vidéo dans les années 1970 et rencontrer le succès mondial qu'on lui connait, Nintendo a vendu pendant près d'un siècle des cartes à jouer, les hanafuda. Composé de 12 séries de 4 cartes florales représentant chacune l'un des douze mois de l'année, le jeu était très populaire durant le Sakoku, époque où le Japon était totalement isolé du reste du monde. Ces cartes peuvent être utilisées pour jouer à différents jeux comme Koi-Koi ou Poka.
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