En 1835, année de fondation du grand théâtre Konpira, l'Europe hésitait entre la république et la monarchie, jouait déjà des opéras et avait fini de bâtir des chateaux colossaux devenus depuis des sites touristiques de premier plan. Au Japon, on approchait de la fin de l'époque féodale et de l'enfermement du pays (sakoku, 鎖国), et on assistait à des représentations de kabuki.
Ce grand théâtre de 740 places dont il est question dans ce reportage, est le plus ancien du genre au Japon. Situé en contrebas du sanctuaire Kotohira-gū, ou Kompirasan, il est aujourd'hui un témoin majeur des arts de la scène du 19e siècle japonais.Aujourd'hui connu sous le nom d'Ancien Grand Théâtre Konpira (旧金毘羅大芝居, Kyū Konpira Ōshibai) ou plus simplement Kanamaru-za, il donne plusieurs représentations par an et se visite les jours de relâche.
Comme dans beaucoup d'endroits au Japon, on laisse ses chaussures à l'entrée, ou au "vestiaire". L'intérieur du théâtre est en effet habillé de bois et de tatamis qui seraient immédiatement endommagés s'ils étaient foulés par des chaussures sales.
Le théâtre n'a pas changé depuis son ouverture. En y pénétrant, on est tout de suite saisi par son authenticité. Chaque box a été conservé à l'identique, de même que les balcons situés de chaque côté et au fond de la salle.
Durant chaque intersaison, de menus travaux sont effectués pour garantir la sécurité des spectateurs, solidifier l'ensemble et redonner une seconde jeunesse à certaines de pièces de bois endommagées par le temps.
La machinerie tient une place importante dans le kabuki. Ce qui fait l'originalité et une grande partie du succès de cet art théâtral, ce sont les mouvements de scènes, l'ouvertures de trappes d'où apparaissent ou disparaissent les personnages. Avant l'apparition de l'électricité, ces mouvement étaient opérés par des techniciens à la seule force des bras. La visite du Grand théâtre Konpira permet de découvrir cette salle des machines située juste sous la scène.
Dès ses premières apparitions, notamment au sein du groupe féminin japonais Rev. from DVL, Kanna Hashimoto a attiré l’attention et est devenue populaire.
Certains lui ont donné le surnom de "Talent qui n’apparaît qu’une fois dans un millénaire". Un autre surnom de « Idole Angélique » lui a été donné.
Au lieu de les laisser nous piquer, pourquoi ne pas les manger ?
Appelée la « succulente », la méduse est très appréciée des Japonais qui en mangent 13 tonnes par an. Avec 95 % d'eau et 5 % de protéines, elle est très peu calorique…
Aucune des espèces de méduses des cotes françaises n'est comestible. Vous pouvez trouver de la méduse séchée dans quelques épiceries asiatiques.
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