Akine Coco (@akinecoco987), photographe japonaise originaire de Fukui, a réalisé plusieurs séries de clichés mettant en valeur la campagne japonaise. Les scènes représentées rappellent les décors de nombreux animes populaires, où la nature joue un rôle prépondérant et où les personnages évoluent dans des environnements ruraux idylliques et pittoresques du Japon rural, avec ses rizières verdoyantes, ses maisons traditionnelles en bois et ses temples anciens nichés au milieu de paysages luxuriants.
Ces images, vibrantes de couleurs et composées avec soin, semblent saisir l'essence même de l'animation japonaise. La lumière douce qui les baigne crée une ambiance paisible et nostalgique, rappelant l'esthétique des films du Studio Ghibli ou de Makoto Shinkai, grâce à des angles de vue et un éclairage unique.
Ses photos, publiées sur Twitter et Instagram avec la légende « Comme une scène d'anime », témoignent de la capacité du Japon à préserver son patrimoine culturel et naturel, et de sa capacité à inspirer l'imaginaire. Elles invitent le spectateur à s'évader dans un univers onirique, où le temps semble s'être arrêté et où la nature règne en maître.
Akine Coco a publié un livre de photographies intitulé "Akine Coco 写真作品集 アニメのワンシーンのように。" (Collection de photos "Comme une scène d'anime"). Cet ouvrage réunit plus de 200 clichés soigneusement sélectionnés par l'artiste. Le livre dévoile également les coulisses de son processus créatif à travers 50 questions-réponses.
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Kanna Hashimoto
Kanna Hashimoto
Nom : Hashimoto
Prénom : Kanna
Naissance : 1999/02/03
Date d'apparition : 2010
Activité : Chanteuse, actrice et idole
Taille : 152
Groupe sanguin : AB
Dès ses premières apparitions, notamment au sein du groupe féminin japonais Rev. from DVL, Kanna Hashimoto a attiré l’attention et est devenue populaire.
Certains lui ont donné le surnom de "Talent qui n’apparaît qu’une fois dans un millénaire". Un autre surnom de « Idole Angélique » lui a été donné.
En 1912, lors des J.O. de Stockholm, les marathoniens courent sous une chaleur torride. Épuisé et assoiffé, Shizo Kanakuri décide de s’arrêter «quelques instants», mais il s’endort et ne se réveillera que le lendemain matin.
En 1967, âgé de 76 ans, le japonais revient au stade olympique et termine son marathon. Il détient depuis le record du monde du marathon le plus lent avec un temps de 54 ans, 8 mois, 6 jours.
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