Même au sein des espaces centraux de la zone urbaine la plus densement peuplée au monde, la verticalité concerne surtout les espaces de gares et les fronts d’avenues. Même en raison des limitations de l’espace disponible au sol, et comparée aux autres métropoles de même taille et de même rang, la zone urbaine de la capitale reste basse, constituée encore majoritairement d’un réseau de bâtiments de deux à quatre étages et sur de petites parcelles.
C’est en flânant dans les ruelles de Tokyo, et en portant son regard sur ce genre de structures que l’on ne se sent pas perdu dans cette gigantesque toile. Mais on se demande aussi et surtout comment un tel projet a pu voir le jour.
Comment occupe-t-on un espace vide dans la plus grande nappe urbaine du monde ? Dans la mégapole de 40 millions d’habitants, malgré les difficultés qui peuvent subvenir, on comble les trous quoi qu’il en coûte.
C’est le cabinet SO&CO qui a livré cette « ultra-mince » construction dans l'une des artères secondaires du quartier de Ginza.
En raison de la superficie au sol disponible et de l’accès restreint au site, l’équipe à l’origine du projet a rencontré plusieurs problèmes de progressions lors de son travail sur place. Par exemple, il était impossible d’installer d’imposantes machines à l'intérieur de la zone constructible, de nombreuses tâches devaient être effectuées à la main.
La surface qui donne sur la rue, ne mesure que 2,7 mètres de large. Érigé sur une parcelle en forme de L, le bâtiment, destiné au commerce de détail, est divisé en deux volumes : le plus étroit est présenté à la ruelle ; et le plus grand à l'arrière de la parcelle. Un escalier compact relie les deux parties entre eux, permet de desservir quatre étages qui accueillent cinq bureaux individuels, et crée un joli puits de lumière central éclairant naturellement les 111 m² du bâtiment en béton armé.
Dès ses premières apparitions, notamment au sein du groupe féminin japonais Rev. from DVL, Kanna Hashimoto a attiré l’attention et est devenue populaire.
Certains lui ont donné le surnom de "Talent qui n’apparaît qu’une fois dans un millénaire". Un autre surnom de « Idole Angélique » lui a été donné.
En 1961, à Paris, lors de la troisième édition des championnats du monde, soit environ 80 ans après la création de cet art martial fondé par Jigoro Kano en 1882, Anthonius Johannes (Anton) Geesink est le premier judoka à battre un japonais en catégorie poids lourds. En 1964, à Tokyo, le néerlandais deviendra médaillé olympique en dominant en finale Akio Kaminaga.
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