Shabontama Ojisan (シャボン玉おじさん, Tonton bulle de savon), artiste basé à Chiba, enchante le public avec ses spectacles de bulles à travers le Japon. Il partage également ses créations sur Instagram et Twitter, où ses photos mêlent harmonieusement les paysages japonais à l'esthétique onirique des bulles de savon.
Shabontama Ojisan partage son art et sa philosophie de vie avec ses followers. Il cite Yukio Aoshima (Ancien gouverneur de Tokyo) : « Celui qui s'amuse est imbattable. » Il encourage chacun à aimer davantage ce qu'il aime, une philosophie qui transparaît dans son travail. Ses créations sont le reflet de cet amour et de cette passion, et il espère inspirer les autres à trouver leur propre source de joie et à la partager.
Les photos de Shabontama Ojisan sont plus que de simples images, elles sont une invitation à la joie et à l'émerveillement.
Les bulles de savon, c'est la magie de l'enfance qui flotte dans l'air. Des sphères irisées qui dansent et éclatent, un plaisir simple et universel qui émerveille petits et grands, et transforme le ciel en un monde féérique.
Quelle est la meilleure recette pour faire des bulles de savon ?
En collaboration avec des artistes, qui ont une grande connaissance empirique des recettes qui fonctionnent dans leurs numéros, une équipe du Laboratoire de physique des solides (LPS - CNRS/Université Paris-Saclay) a identifié les principaux ingrédients assurant d’obtenir les meilleures bulles. Les résultats montrent que la recette parfaite doit contenir de l’eau à laquelle on rajoute : 4 % de liquide vaisselle, entre 0,05 % et 0,1 % de polymère (gomme de guar et JLube) et 10 % de glycérol. Le polymère va permettre la création de bulles stables, tandis que le glycérol, lui, augmente la longévité des bulles sans les rendre plus difficile à souffler.
Dès ses premières apparitions, notamment au sein du groupe féminin japonais Rev. from DVL, Kanna Hashimoto a attiré l’attention et est devenue populaire.
Certains lui ont donné le surnom de "Talent qui n’apparaît qu’une fois dans un millénaire". Un autre surnom de « Idole Angélique » lui a été donné.
En 1912, lors des J.O. de Stockholm, les marathoniens courent sous une chaleur torride. Épuisé et assoiffé, Shizo Kanakuri décide de s’arrêter «quelques instants», mais il s’endort et ne se réveillera que le lendemain matin.
En 1967, âgé de 76 ans, le japonais revient au stade olympique et termine son marathon. Il détient depuis le record du monde du marathon le plus lent avec un temps de 54 ans, 8 mois, 6 jours.
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