Rebecca Bathory est une adepte de l’exploration urbaine. Elle a déjà entrainé son objectif derrière le rideau de fer et les zones abandonnée de l'Union soviétique pour capturer la quintessence de la beauté architecturale soviétique.
De nombreux photographes ont tenté d'explorer les ruines silencieuses dans la zone réglementée de Fukushima et de documenter les conséquences de l'une des pires catastrophes de l'histoire de l’humanité. Très peu d'entre eux ont réussi. En 2016, elle a réussi à obtenir les licences nécessaires.
La photographe britannique s’est aventurée sur les traces des fantômes d’une région abandonnée par l’homme et a réussi à retranscrire le temps qui s’est arrêté. La nourriture a pourri dans les bols des restaurants, les couleurs ont fanés, et le silence d’or est seulement perturbé par le déclenchement de l’obturateur alors que les cerisiers étaient en pleine floraison.
Le livre qui recense les clichés exceptionnels de Rebecca Bathory, intitulé « Return to Fukushima » est édité chez Carpet Bombing Culture. Une bonne idée de cadeau pour les amateurs d’urbex.
Cette précieuse collection d'images immortalise la tristesse d'un des pires moments de l'histoire moderne, qui se mesurent en vies humaines, en pertes et en espoirs, un moment qui nous concerne tous, un avertissement du danger de l'énergie nucléaire ou la démonstration de la puissance de la nature, qui peut parfois être impitoyable.
Quelle que soit la façon dont vous décidez de les voir, ils laissent un fort impact et ne vous laisseront pas indifférent.
Au lieu de les laisser nous piquer, pourquoi ne pas les manger ?
Appelée la « succulente », la méduse est très appréciée des Japonais qui en mangent 13 tonnes par an. Avec 95 % d'eau et 5 % de protéines, elle est très peu calorique…
Aucune des espèces de méduses des cotes françaises n'est comestible. Vous pouvez trouver de la méduse séchée dans quelques épiceries asiatiques.
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