Points d’orgues indissociables des matsuri qui animent les chaudes et humides soirées estivales au Japon, les Hanabi (littéralement fleurs de feu, contraction de « hana », fleur, et « bi », feu) illuminent de fabuleuses pétales et de traines évanescentes les cieux d'encres de l’archipel. Ils enchantent les yeux, égayent les cœurs mais ils éloignent aussi les mauvais esprits et chassent les démons.
Documents d’archives
La bibliothèque publique de Yokohama a numérisé des illustrations datant de la fin du XIXème siècle mais aussi des catalogues proposant des feux d'artifice de deux sociétés de Yokohama, Hirayama Fireworks Factory (créé en 1877) et Yokoi Fireworks.
Les ouvrages, en anglais, étaient destinés à l'exportation, et proposaient déjà à l’époque, une grande variété de formes et de couleurs. Sous la férule de maitres artificiers, les fleurs de feu, qui d’abord ne proposait que de simples dégradés orangés, se sont rapidement parés de couleurs bien plus enthousiasmantes. Bombes, embrasements, cascades, soleils ou bouquet pour le final, avec ces illustrations les clients étrangers pouvaient imaginer les spectacles pyrotechniques et les enchaînements à concocter pour le plaisir des spectateurs.
7 tonnes de sauterelles sont consommées chaque année au Japon
100 grammes de sauterelles donnent 26,3 grammes de protéines contre 20,2 gr pour l'équivalent de viande de boeuf…
L'automne est la meilleure période pour ramasser les sauterelles, au moment de la récolte de riz. Elles pullulent dans les rizières.
Dans la région de Nagano, on aime les sauterelles bouillies puis passées dans un mélange de sucre, sauce soja et mirin (sake doux), et utilisées en accompagnement du riz blanc ou du thé vert.
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