Presque tous les artistes de l'ukiyo-e, les célèbres estampes japonaises, ont produit du bijin-ga, l'un des thèmes centraux du genre. Bijin-ga (美人画) est un terme générique pour désigner les images de belles femmes dans l'art japonais durant l’ère Edo (XVII/XIXe siècle).
Tombé en désuétude avec le développement de la photographie, le bijin-ga n'a pas pour autant disparu. De plus en plus d’artistes contemporains tentent de relancer le genre et parmi eux Ichiro Tsuruta. L'homme né en 1954 dans la région de Kumamoto a fait du bijin-ga sa spécialité et il expose régulièrement ses œuvres au Japon. La prochaine aura d'ailleurs lieu à Osaka en janvier et sera gratuite pour les visiteurs.
Le travail de Tsuruta est remarquable. Ses tableaux allient le plus souvent un fond uni de couleur pastel et une femme de face ou de profil. Seule fantaisie, le couleur des yeux de ses muses. L'artiste semblant particulièrement apprécier les yeux verts.
Au lieu de les laisser nous piquer, pourquoi ne pas les manger ?
Appelée la « succulente », la méduse est très appréciée des Japonais qui en mangent 13 tonnes par an. Avec 95 % d'eau et 5 % de protéines, elle est très peu calorique…
Aucune des espèces de méduses des cotes françaises n'est comestible. Vous pouvez trouver de la méduse séchée dans quelques épiceries asiatiques.
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