En ce jour d'Assomption, DozoDomo vous emmène à la Cathédrale Sainte-Marie de Tokyo. Construite en béton armé entre 1961 et 1964 sur des plans réalisés par le grand architecte japonais Kenzō Tange, le bâtiment remplace l'ancienne cathédrale en bois détruite durant la seconde guerre mondiale.
La structure est composée de huit murs incurvés, parallèles deux à deux, qui forment vu du dessus une croix. Cette disposition classique contraste avec la modernité de l'édifice, dont le béton précontraint est recouvert de feuilles d'acier inoxydable, posées sur des cadres en aluminium. L'utilisation de ces matériaux se référent à des passages de la Bible ou bien à l'image de Dieu. Le béton se réfère ainsi au Psaume 18,3: « Le Seigneur est mon roc, ma forteresse et mon libérateur. » tandis que la brillance de l'acier inoxydable évoque la lumière que Jésus-Christ fait briller. L'ensemble est censé représenter l'évangile selon Matthieu 11,28: « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi je vous donnerai le repos. » La cathédrale est haute de 39,4 m, longue de 55,5 m et large de 40,7 m. Elle peut accueillir en son sein 2 600 personnes, dont 600 pouvant être assises. Le clocher, haut de 61,6 m, est indépendant du bâtiment central. Il se compose de quatre lignes se regroupant ensuite en une seule. (source Wikipédia)
Le complexe comprend également une "réplique" de la grotte de Lourdes à l'extérieur.
Relativement difficile d'accès car située au sommet d'une butte, la cathédrale Sainte-Marie est assez éloignée des grands centres touristiques de la capitale japonaise, et donc de ce fait, peu visitée par les étrangers. Les habitants de Tokyo eux-mêmes ne la connaissent pas bien.
Si son apparence extérieur surprend déjà, son intérieur particulièrement étonnant ne laisse personne indifférent.
Assurément une découverte à ne pas manquer si vous êtes de passage à Tokyo.
Au lieu de les laisser nous piquer, pourquoi ne pas les manger ?
Appelée la « succulente », la méduse est très appréciée des Japonais qui en mangent 13 tonnes par an. Avec 95 % d'eau et 5 % de protéines, elle est très peu calorique…
Aucune des espèces de méduses des cotes françaises n'est comestible. Vous pouvez trouver de la méduse séchée dans quelques épiceries asiatiques.
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